Particularités physiques

Si les Sélénites et Héliotes possède de façon générale la physionomie de nos hommes humains (mêmes s’ils possèdent des couleurs d’yeux et de cheveux fantasques) ce qui les rend relativement semblables d’un simple coup d’œil. Ils n’en demeurent pas moins une espèce à part.

En différé
Les Sélénites :
Ils sont, de façon générale, des êtres à physionomie longiligne et aux traits fins. Leur apparence est relativement monochrome. La peau blanche, pour des yeux et cheveux clairs. Il n’est pas rare pour eux d’avoir les cheveux blancs, gris, ou bleus pâles. Les Sélénites ne craignent absolument pas le froid, en revanche, ils sont très sensibles à la chaleur. Ils ont une certaine rapidité et précision. Il n’est pas rare que les Sélénites soient très grands, souvent plus que les Héliotes. Ils atteignent environ entre 1m80 et 2m de haut. D’une manière commune, l’idéal de beauté physique Sélénite est un très grand homme pâle, aux longs cheveux et aux yeux clairs, blancs de préférence et aux traits fins.

Les Héliotes :
De constitution plus solide que leurs cousins lunaires, forgée notamment par les conditions de vie difficiles de Mercure et une éducation très militarisée, ils sont connus pour être adeptes de la force brute. Leur peau est plus sombre que les sélénites, halée, parfois même noire et leurs cheveux, de la même manière, plus foncés. Si leurs yeux sont souvent ombrageux, il n’est pas rare de trouver des Héliotes aux yeux jaunes ou s’en approchant. Contrairement aux Sélénites, ils supportent très bien les fortes chaleurs mais sont frileux. De taille, ils oscillent entre les 1m60 et 1m80. En ce qui concerne le peuple du soleil, leur idéal de beauté est un homme imposant, de très forte carrure et à la physionomie carrée, avec des cheveux et une peau sombre. Le corps doit représenter la force brute de l’Héliote.

En commun
Reproduction :
Tout d’abord, ils ne sont pas « hommes » dans le sens où nous l’entendons. S’ils en ont l’apparence, les créatures astrales sont un peuple exclusivement Hermaphrodite. Par cela, chaque Sélénite peut enfanter et il n’existe donc pas de système de « mâle » et de « femelle ». Quand la pratique sexuelle ressemble à celle de nos homosexuels humains, leur corps est capable de s’adapter à une probable grossesse, de créer un « Utérus provisoire » plus exactement. Provisoire car, les périodes à risque de grossesses se situent environs tous les deux mois, pendant une semaine à une semaine et demie de durée, les dates variant selon l’individu. Elles se repèrent principalement par des affects physiques, comme des bouffées de chaleur, et autres similarités, en bref ; le travail des hormones. Il existe des moyens de contraception. En particulier des boissons à partir d’un mélange de plantes et d’huiles particulières. L’avortement s’effectue par des procédés similaires, cela pourrait être comparé à notre avortement chimique.

Croissance et Mortalité :
Il faut savoir que la croissance des peuples astraux est beaucoup plus rapide que la nôtre dans un premier temps, pour se ralentir considérablement une fois la majorité atteinte. La grossesse dure environs 4 mois. Le nourrisson commence à marcher au bout de deux mois, à parler vers trois. On considère que dès six mois, ils ont déjà acquis leurs capacités motrices et intellectuelles basiques. A dix ans, les garçons sont déjà au début de l’adolescence et, à partir de dix-huit ans, leur développement s’amoindrit considérablement. Leur âge physique devient plus ou moins marqué selon le niveau de vie et les gênes (on ne vieillit pas tous à la même vitesse ni de la même manière). Vers les 1 000 ans, ils sont considérés comme vieux et succombent alors plus facilement à des maladies quand ils ne rendent pas tout simplement leur dernier souffle dans leur sommeil. Si l’on raconte que certains peuvent vivre jusqu’à des temps immémoriaux, ils ne dépassent que très rarement les 1 030 ans. Par ailleurs, la mortalité infantile est encore très élevée. A leur mort, le corps des peuples astraux se change en poussière.

Maladies Cosmiques :
• La Fièvre Céleste : Il s’agit d’une maladie étant apparue lors de la période de la Conquête de l’Océan Stellaire. Proche de la Dysenterie, terriblement contagieuse et mortelle, elle est crainte des marins astraux. Elle aura fait de nombreuses victimes, autant chez les Sélénites qu’Héliotes. A présent plus rare sur la Lune, elle sévit encore dans les quartiers les plus pauvres de Mercure et sur la planète Venus, en dehors de ses villes. Elle est caractérisée par une très forte fièvre, l’infection du foie, des poumons et des diarrhées sanglantes. Il n’est pas exceptionnel que les victimes en meurent d’épuisement.

• La Toux Jaune : Une calamité très répandue sur Mercure. Il s’agit tout simplement d’une infection des poumons provoquée par les nuages de souffre présents un peu partout sur la planète. Elle peut être mortelle pour les enfants et les vieillards, bien que certains vivent avec toute leur vie. Elle se caractérise, comme son nom l’indique, d’une toux chronique assez forte, parfois accompagnée de saignements.

• La maladie de la ‘‘peau de verre’’ : C’est un mal qui a sévi sur la Lune pendant longtemps, principalement auprès des mineurs et des premiers scientifiques. Provoquée par le contact prolongé sans protection avec les cristaux lunaires, la peau finit par se cristalliser, s’écailler, jusqu’à tomber morceau par morceau, au moindre choc. Proche de la lèpre. La peau devient alors très fine et fragile. Il est possible d’en soigner, par chance plus qu’autre chose, mais les séquelles physiques, comme des fissures à certains endroits de la peau, demeurent à vie.

Sixième Sens :
On raconte, qu’il fut un temps, les peuples astraux étaient doués d’un sixième sens très développé. Un instinct impressionnant parfois même accompagné de capacités télékinésiques et télépathiques. Malheureusement, avec le temps, celui-ci s’est amenuisé, ne réapparaissant que dans de rares cas. Pour des miraculés ou des personnes ayant perdu un sens, comme la vue ou l’ouïe. Le Sixième Sens actuel se présente à la façon d’une capacité passive, ou par l’amplification de l’un des sens. Un odorat plus fin, une ouïe plus développée, des sensations plus précises par exemple.